Suspense et frissons garantis.
L'ECRAN FANTASTIQUE - 01/2016
Joe Lansdale prouve une fois encore qu’il est aujourd’hui l’un des meilleurs conteurs, au sens strict, américains sachant allier tradition, suspense, aventures, réflexion sociale et humour.
LA CAUSE LITTERAIRE - 13/11/2015 - Yan Lespoux
Grand nom du southern gothic à qui l'on doit, entre autres, Les Marécages et Juillet de sang, le sous-estimé Joe R. Lansdale combine l'esprit faulknérien et la série B avec ce conte ténébreux, imposant un regard sociétal et politique sans concession.
TECHNIKART - novembre 2015 - Baptiste Liger
Racisme, sexisme, homophobie, le portrait que donne Lansdale de cette Amérique des white trash n'est pas folichon, tout à fait dans la lignée de Harry Crews ou Larry Brown, sauf que son écriture jouissive arrive toujours à aller chercher l'humour et à proposer des métaphores tordantes et bien vues (...). La peinture sociale sombre et le récit en forme de conte initiatique nous mènent aussi vers un monde toujours à la limite du fantastique, parfois macabre (...). Un grand roman.
OBSKURE MAGAZINE - octobre/décembre 2015 - Max Lachaud
Joe R. Lansdale est un vieux routier qui a du savoir-faire et de la routardise : son histoire fonctionne comme une horloge suisse. Plaisir d'une intrigue bien huilée.
L'OBS - 22/10/2015 - François Forestier
Joe R. Lansdale (...) façonne une nouvelle fois, après Les Marécages (Folio, 2006, prix Edgar Allan Poe 2000), le matériau qui est le sien, celui des White trash - des petits Blancs - texans. Et livre surtout une poignante méditation sur l'arrachement au fatalisme social.
LE MONDE DES LIVRES - 11/09/2015 - François Angelier