«Lisez Knausgaard, c'est vous, c'est moi, c'est nous.»
ELLE - 01/03/19 - Marguerite Baux
«L'oeuvre est torrentielle, brouillonne, alternant les temporalités au fil de ses souvenirs, nous entraînant dans l'intimité la plus grande, fascinante par sa sincérité et son absence totale de faux-semblant».
LA CROIX - 7/02/19 - Céline Rouden
« Lire Knausgaard, avec les longueurs et les passages à vide que cela implique, c'est une peu se promener entre l'infiniment proche et l'horizon lointain».
LE DEVOIR - 29/01/19 - Christian Desmeules
« Knausgaard contre Knausgaard. C'est ce duel à mort qui s'exprime, nu et cru, tout au long de ces milliers de pages. Le temps y semble dilaté.»
LE MONDE - 18/01/19 - Florence Noiville
«On dirait que c'est la vie même qui est écrite là.»
LIBERATION - 12/01/19 - Mathieu Lindon
« Comme les précédents volumes de Mon Combat, ce cinquième opus charrie des faits de vie sur le même rythme qu'un torrent.»
LE QUOTIDIEN DU LUXEMBOURG - 4/01/19
« Comme il pleut sur la ville [...] donne d’abord au torve, au médiocre, à l’inachevé, les couleurs plaisantes d’une ballade jazzy. »
LIVRES HEBDO – 14/12/2018 – Olivier Mony