Avec ce premier roman haletant, Breznican nous prend à la gorge dès la première page pour ne plus nous lâcher.
TECHNIKART - numéro d'octobre 2015 - Léonard Desbrières
Ce conte cruel de la jeunesse est un roman d'apprentissage inversé, où les élèves découvrent à 13 ans qu'au lieu de chercher la maturité et la sagesse, mal tourner est l'unique moyen de s'en sortir.
OUEST FRANCE - 25/08/2015 - Hervé Bertho
Un premier roman à l'apparence de teen novel qui abrite en réalité bien pire : une guérilla dans un lycée catholique de Pennsylvanie.
GRAZIA - 02/10/2015 - Emily Barnett
Jusqu'à la dernière page, Brutes tient le lecteur la tête sous l'eau. L'immersion est totale, l'expérience, très efficace : l'adolescence ? Plus jamais !
LE FIGARO MAGAZINE - 25/09/2015 - Nicolas Ungemuth
On se projette avec ferveur dans la tête de ces ados et l'on (re)devient le héros d'une farce potache aux accents cruels et juvéniles.
ELLE - 18/09/2015 - Hélèna Villovitch
Un premier roman terriblement efficace, aussi effrayant que séduisant.
LES INROCKUPTIBLES - 23/09/2015 - Yann Perreau
Pour ses débuts littéraires, Anthony Breznican propose un roman d'apprentissage aux personnages tous incarnés. On l'a compris, Brutes vaut le détour.
LiRE - 24/09/2015 - Alexandre Fillon
Cette histoire de kids beaux et cruels, sur fond d'école privée déglinguée, vaut environ sept mille Profs 2.
LIBERATION - 20/08/2015 - Antonin Iommi-Amunategui